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La lisière Elfique est en place à la frontière du 27 octobre au 27 novembre . L'entrée ou la sortie du Royaume Elfique sont donc compliquées entre ces deux dates.
Nous jouons actuellement en Octobre-Novembre-Décembre de l'an 7 de l'ère d'Obsidienne (équivalent de l'an 1760 d'Argent).



 
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Jorik Hersing - Humain prédéfini [Terminé]

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Jorik Hersing - Humain prédéfini [Terminé] Empty
MessageSujet: Jorik Hersing - Humain prédéfini [Terminé] Jorik Hersing - Humain prédéfini [Terminé] Icon_minitimeLun 29 Aoû 2016 - 18:37




Identité

  • Race : Humain
  • Nom : Hersing
  • Prénom : Jorik
  • Surnom : /
  • Date de naissance : 04 avril 1723
  • Age réel : 37 ans
  • Age vampirique : /
  • Lieu de naissance : Pierre-Sombre, petit hameau situé à quelques lieux de la forêt de l’ouest.
  • Lieu de vie : Caladon l'Harmonieuse
  • Rang social : Noble
  • Poste/emploi : Bourgmestre de Caladon
Caractéristiques (Clic!)


Physique :

  • Force physique : Faible
  • Agilité : Moyen
  • Furtivité : Très faible
  • Réflexes : Faible
  • Endurance : Moyen
  • Résistance : Bon
  • Beauté : Bon

Mental :

  • Force mentale : Très bon (grâce au totem)
  • Patience/self contrôle : [/b]Maître
  • Perception : Bon
  • Intelligence : Maître (grâce au totem)
  • Prestance/charisme : Grand maître
  • Mémoire : Bon

Combat :

  • Epée : Aucun niveau
  • Dague et poignards : Aucun niveau
  • Armes d'hast : Moyen
  • Armes contondantes : Aucun niveau
  • Hache : Aucun niveau
  • Faux : Aucun niveau
  • Fouet : Aucun niveau
  • Art du lancer : Aucun niveau
  • Art de la parade : Moyen
  • Arc : Aucun niveau
  • Arbalète : Aucun niveau
  • Mains nues/pugilat : Aucun niveau
  • Equitation : Bon



Equipement et magie

  • Arme principale :

    • Orbeck : Lance de qualité qui me fut offerte par Mellilla Abrae, dirigeante élue de la guilde des marchands, à mon obtention du poste de bourgmestre. À croire qu’ils étaient heureux que je sois élu à la place d’un autre..


  • Autres objets :

    • Tenue sombre de noble : Les nobles aiment porter des vêtements hauts en couleurs. Cette tenue est un bon moyen pour ne pas me comparer aux autres, tout en conservant un ensemble digne de ma fonction.

    • Amulette d’apaisement : Une bien belle amulette incrustée d'une petite pierre d'agate en son centre.

      Enchantement : Apaisement - élémentaire : a la propriété d'apaiser quiconque la voit, sauf son porteur. Une fois cachée, sous un vêtement par exemple, ses effets ne se font plus sentir. Une personne ayant une importante force mentale est capable de résister à son effet.

    • Mandoline d’Aif: Mon instrument de prédilection. L’art musical me fut enseigné lorsque j’étais Enwr, et j’avais eu une préférence pour la mandoline. Celle-ci est faite de bois doré et possède une forme arrondie et douce. Les cordes ont même été réalisées à partir de fibres d'arbres, et des gravures d'argent lui donne un aspect précieux, unique.

      Enchantement : Somnolence - élémentaire : permet de jouer même lorsqu'on ne connait pas les notes. Sa mélodie peut provoquer une somnolence chez ceux qui possèdent de mauvaises intentions.


  • Style de magie principal : Humaine

  • Arrogance : Catastrophique
  • Gentillesse :Très bon





Description physique


L’auto-description est un incroyable exercice, quoiqu’assez difficile. Comment peut-on se décrire avec exactitude sans se dénigrer ou se vanter ? Je vais malgré tout essayer de m’y prêter..

L’on dit de moi que j’ai un physique athlétique, bien que je ne possède pas une très grande force. Je suis un homme plutôt fin à vrai dire. La taille ne m’a jamais posé de soucis dans la mesure où je suis également assez grand.

J’aime porter les cheveux longs. Étant assez soyeux et souples, cela ne dérange absolument pas pour les coiffer au réveil, contrairement à d’autres. Ils sont de couleur sombre, se rapprochant davantage du brun que du noir. Il se trouve qu’ils s’accordent relativement bien avec mon visage, fin et carré, ce qui lui fait adopter une forme plutôt rectangulaire. Mes yeux sont, pour leur part, très clairs, d’un bleu glace rare, perçant, qui a tendance à interpeller de nombreuses personnes.

L’on dirait que je suis constamment de mauvaise humeur, mais rien n’est plus faux. Mes lèvres et mon nez fins ont tendance à confirmer cette impression. Il est vrai que je sais me faire obéir lorsque je le souhaite, mais cela n’empêche pas le fait que je puisse me montrer doux et affectueux. Tout réside dans la voix. La mienne peut paraître aussi autoritaire et stricte que franche et sincère.

Concernant l’accoutrement, je n’y ai jamais vraiment prêté une grande attention. Avec ma nouvelle affectation, je ne puis plus en dire autant. Ma garde-robe ne contient que des vêtements sombres, pour la plupart, car de toutes les couleurs que portent les nobles, aucune ne m’attire réellement. Et puis, c’est un bon moyen pour ne pas exhiber sa supériorité.


Description mentale


Joie, un autre exercice d’auto-description. Tâchons d’en finir rapidement..

Que dire de ma personnalité ? La première idée me venant à l’esprit est la franchise. J’ai toujours été un homme franc, préférant une dure vérité à un doux mensonge. Peut-être que ma longue formation baptistrale en est à l’origine. Je fais également en sorte d’être le plus juste possible, ce qui, parfois, m’amène à demander l’avis de tous les partis concernés pour choisir.

Je ne tourne que rarement autour du pot et ne remets jamais au lendemain ce que je suis capable de faire dans la journée. J’ai également la fâcheuse tendance à appeler un chat un chat, préférant parler sans circonlocution. Certains, pour ne pas dire beaucoup, n’apprécient que peu cette façon de procéder, mais je suppose qu’elle évite de faire perdre du temps. Si les mots sont malades, c’est à nous, hauts-fonctionnaires et personnes d’importance, de les guérir. Au lieu de cela, beaucoup vivent de cette maladie.

Je possède malgré tout le sens de la répartie. Les duels verbaux sont après tout courants dans la politique, qui exigent rapidité et frappes au cœur. Cela m’a été utile lors des éléctions.. Aussi, j’aime à conter des histoires. Les mots et les verbes ne viennent pas tout seuls, il faut aller les cueillir pour les organiser comme on le souhaite. J’ai, en toute modestie, cette capacité à cueillir les mots plus rapidement que les autres.

Pour finir, je dirai que mon but en tant qu’être est d’inspirer la paix. Que mon entourage soit composé d’hommes, de femmes, d’elfes ou de vampires, peu m’importe. Mon objectif est de faire régner calme et prospérité au sein de Caladon.




Histoire


Bien, je suppose que la tenue d’un journal m’aidera à me remémorer les précieux instants de mon existence quand j’approcherai de la vieillesse. De nombreuses dames à la cour glorienne se sont prêtées à l’exercice, et je n’en ai entendu que du bien. Les hommes sont tout à fait capables, eux aussi, de coucher sur papier ce dont ils ont envie. Nous ne sommes en rien obligés de rédiger des accords commerciaux et autres traités uniquement ! Plus nos lois tendront à une impossible égalité, plus nous nous en écarterons par les mœurs, comme dirait Philippa.. Voici donc le livre de ma vie, le récit de mes aventures, le conte de mes péripéties.

Je m’appelle Jorik Hersing, et ceci est mon histoire.




Chapitre I : Rude enfance


Tout commença dans un petit village appelé Pierre-Sombre, un pauvre hameau où les habitants vivaient en autarcie, ne parvenant à se sustenter que de leurs maigres récoltes. Quelques caravanes y passaient de temps à autre, voyageant ainsi vers les fameuses forêts elfes de l’ouest, espérant découvrir les secrets qu’elles recelaient. Pierre-Sombre se situait effectivement à quelques lieux de la lisière du bois, et était par conséquent éloigné de toute grande ville humaine. Je ne doute cependant pas que ses résidents appréciaient le précieux silence y régnant à l’époque.. C’était également mon cas, je dois l’avouer, même si je ne comprenais pas encore bien la raison pour laquelle les adultes accordaient une si grande valeur à cet imperturbable calme.


Pierre-Sombre:



Ma mémoire me faisant défaut, je ne puis me souvenir de la totalité de mon enfance. J’en retiens cependant une importante mais triste partie.

En l’an 1729, un jour de pluie comme nous en avions l’habitude dans la région, la famille Cronkvist perdit l’un de ses honorables membres. Ils étaient respectés pour leur altruisme et leur attention, aucun d’entre eux ne laissait quelqu’un tomber dans le désespoir et chacun, à sa manière, tentait d’égayer la vie des villageois. Le patriarche, dont le nom m’échappe désormais, était victime de sous-nutrition, souhaitant privilégier les besoins de ses filles en leur offrant constamment sa maigre part de nourriture. Cela faisait quelques années que les récoltes n’étaient plus assez rentables en raison de je ne sais quel malheur. À vrai dire, je ne me suis jamais beaucoup intéressé à l’agriculture..

Quoiqu’il en soit, la famine eut raison de ce pauvre homme. Le seigneur, imbécile indécis et colérique, fut prit d’une rage noire à l’annonce de sa mort et décida de considérablement réduire le nombre de bouches à nourrir. Je comprends maintenant qu’il eut raison de nous faire partir. Il ne souhaitait pas subir d’autres pertes indésirables..

Mais cela ne l’a tout de même pas empêché de nous traiter comme de vulgaires marchandises.


Flashback:


Ainsi, nous partîmes pour les immenses forêts verdoyantes de l’ouest. Le voyage fut éprouvant pour un petit être comme je l’étais, je me rappelle même avoir souvent trébucher sur la grande route.. Ma mère me portait parfois sur ses épaules pour m’éviter une trop grande fatigue, quand ce n’était pas mon père qui le faisait bien sûr.

Je ne possède malheureusement pas de souvenirs marquants les concernant, si ce n’est qu’ils furent assez sages et protecteurs pour me conduire au domaine baptistral afin de m’offrir une éducation de choix. Je suppose que c’était la meilleure solution possible après que ce gros dirigeant bedonnant m’ait ordonné de m’en aller..




Chapitre II : Une nouvelle vie


À peine âgé de quelques années, la magie s’était déjà révélée en moi comme étant puissante. J’étais amené à devenir un éminent sorcier, contrôlant avec aisance l’art de la trame armandéenne. L’absence des dragons n’avait pas totalement privé le continent de sa magie, et je pus alors facilement puiser dans le restant d’énergie présent. Bien entendu, je ne m’en rendis compte que plus tard, lorsque je fus accepté au sein du fameux ordre où mes parents m’emmenaient.

Nous étions arrivés en plein milieu de la forêt, où la somptueuse magie des maîtres bardes nous informa de la proximité de leur berceau. J’avoue avoir été émerveillé durant le trajet, levant la tête pour scruter les hautes cimes des arbres, manquant alors de perdre l’équilibre. Ils me semblaient si grands que je crus qu’ils atteignaient les nuages.

La barrière magique érigée pour empêcher quiconque n’étant pas invité d’entrer s’était révélée à nous quand nous nous heurtèrent maladroitement dessus. Des histoires parvenant jusqu’à notre village reclus par le biais de voyageurs racontaient que nul ne pouvait pénétrer dans le domaine sans autorisation concrète du Gardien ou d’un maître baptistrel. Mes souvenirs se troublent alors que j’écris ces lignes.. Je me rappelle cependant qu’Aramis se tenait là, assise non loin d’un petit ruisseau, admirant les oiseaux chanter en parcourant délicatement sa lyre de ses doigts. Nous avions entendu la douce mélodie s’y échappant en parcourant la bordure de la barrière à la recherche d’une personne susceptible de nous aider, et nous nous étions dirigés vers elle.

Aramis.. Même avec tes 594 années de l’époque, tu étais magnifique. La beauté des elfes ne cessera jamais de m’impressionner.

Ainsi donc, c’est ici que l’on trouva la fameuse Cawr destinée à devenir impératrice. Mon père nous présenta à elle et exposa brièvement la raison de notre présence. Sa réaction ne fut alors pas sans nous surprendre : elle compatit à notre malheur et accepta de me prendre sous son aile au sein de la célèbre corporation des maîtres chanteurs. Je n’avais jusqu’à présent jamais assisté à une telle bonté d’âme dans le miséreux village qu’était Pierre-Sombre, et Aramis venait de m’accorder une chance pour débuter une nouvelle vie.

Mes parents exprimèrent alors leur soulagement et leur joie d’avoir trouvé l’endroit idéal pour leur enfant, même si la séparation fut douloureuse. À vrai dire, j’avais déjà la certitude de ne plus pouvoir les revoir dans cette vie une fois l’ordre intégré. Je les quittai donc à l’âge de six ans, et suivis ma future enseignante à travers la parcelle de forêt appartenant à l’ordre. Les arbres de ce côté-ci de la barrière ressemblaient parfaitement aux autres, si ce n’est que la magie baignant le lieu leur donnait un aspect plus majestueux. Peut-être n’était-ce qu’une illusion due à mon imagination débordante d’enfant, ou peut-être l’étaient-ils réellement.. Je ressentais déjà les phénomènes de concentration de la trame à l’époque, et je peux assurer qu’en ce lieu, elle y était non seulement plus concentrée, mais également plus pure.

Nous traversâmes ensuite l’immense plaine, paisible et où l’harmonie semblait régner, pour enfin atteindre le somptueux palais, Tomingorllo. Cet incroyable édifice semblait avoir été réalisé par les elfes, qui lui avaient sans aucun doute donné l’apparence de leurs autres constructions. L’on y voyait d’un simple regard la grâce dont il firent preuve pour le bâtir, grâce qui s’accordait parfaitement avec le reste du domaine, où tout semblait amener à la paix.

Je fus donc accepté en tant que jeune Enwr, élève de ma nouvelle professeur qui n’était autre que la première baptistrelle que j’avais rencontrée. Aramis m’éduqua de la meilleure façon qui soit, prenant parfois le rôle de mère, parfois le rôle de sœur confidente. Elle tâchait toujours de me faire comprendre que seule l’action pouvait conduire à la paix, en agissant auprès d’autrui afin de leur offrir nos services. Plus les années passaient et plus je comprenais que le bonheur n’était pas en réalité le fruit de la paix, mais bien la paix elle-même..

Durant ces longues années d’études, on nous forma, moi et mes camarades qui n’étaient d’ailleurs pas tous de mon âge, à maints domaines d’expertise tels que la fameuse magie baptistrale, ou comment ressentir les vibrations des êtres et du monde, l’art du chant, de la musique, de la guérison, de conservation du savoir ainsi que la philosophie. Je dois avouer que parmi ces matières, cette dernière est celle qui me fit le plus défaut.

J’ai le souvenir d’avoir été un bon élève, sans toutefois parvenir à atteindre l’excellence dont certains arrivèrent à faire preuve. Je maîtrisai cependant avec aisance plusieurs de ces domaines, ce qui me permit d’ajouter l’histoire et l’étude des esprits à la liste. Ces cours secondaires étaient dispensés par plusieurs Cawr, alors experts dans leurs domaines d’enseignement. Je me souviens avoir côtoyer les douze maîtres de la Rhapsodie, ayant en effet participé à, au moins, l’un de leur cours. Tous étaient sages de nature, et nous considéraient comme leurs dignes successeurs, qu’il fallait bien évidemment former pour perpétuer l’art des maîtres bardes.

Un jour, Aramis, qui m’avait fait demandé à la fin d’un cours portant sur la guérison non magique, me fit part de la nécessité de se défendre. La manieuse de lance experte qu’elle était voyait en l’auto-défense une façon de se préserver tout en évitant de rompre le serment si précieux que devaient prononcer les Cawr. Elle proposa alors de m’enseigner, en plus des autres cours, l’art du combat à la lance, qui devait se montrer utile afin de prendre soin de mon entourage ainsi que de ma personne en cas de conflit. J’étais alors âgé de vingt-deux ans, et je n’avais encore jamais touché à une arme. J’étais quelque peu curieux, bien que frustré à l’idée d’apprendre à me défendre..


Flashback:


Aramis était en effet du genre autoritaire et attendait de chacun qu’il fasse de son mieux. Malgré cela, elle demeurait d’une attention rare envers nous, et c’est ce qui me conduisit, je pense, à grandement l’apprécier.

Outre le temps passé à étudier, qui ne me déplaisait pas nécessairement, et celui consacré au maniement de la lance, je passai de nombreuses heures aux alentours de la fameuse fontaine vif-argent. Celle-ci prenait place dans la cour du domaine, et avait l’habitude de m’apaiser, me faisant ainsi ressentir l’harmonie qui baignait ce lieu. L’eau me paraissait être un sage élément, étant autant capable d’apporter calme et plénitude que malheur et désolation selon les circonstances. Je suppose qu’elle serait devenue mon élément attitré si j’avais pu entrer au sein de la Rhapsodie..

Avec l’arrivée constante de nouveaux apprentis chaque année, le site regorgeait d’hommes, de femmes et d’elfes, chacun à un âge plus ou moins avancé. C’est en l’an 1752 de l’âge d’Argent que je fis la rencontre de celle qui deviendrait plus tard ma fille adoptive. Quelques temps auparavant, le retour des dragons sur le continent avait provoqué l’engouement au sein de l’ordre baptistral, et la plupart d’entre nous purent renouer de puissants liens avec la trame armandéenne. Un groupe d’arrivants, guidé par l’un de nos maîtres, entra donc dans le domaine. Ils semblaient jeunes, parmi eux se tenaient même plusieurs enfants. Au fil des jours, nous, apprentis, créâmes des liens avec eux, de la même façon que les Enwr plus âgés en avait créé avec nous à notre arrivée.

La plus petite du lot, âgée de huit ans et prénommée Alénor, venait souvent me voir quand elle en avait le temps, appréciant ma compagnie rassurante. J’avais en effet un don pour calmer les gens, et je supposais qu’elle avait besoin de consolation après la séparation avec ses parents, ceux-ci l’ayant abandonnée aux baptistrels, incapables de la nourrir. Comme quoi, nous n’étions pas si différents l’un de l’autre.. Elle s’attacha à moi, et je m’attachai à elle, comme si une apaisante aura émanait de nous quand nous parlions. Nous fonctionnions en symbiose. Elle m’apportait joie et bonne humeur, et je l’aidai en retour à étudier et à apprendre. D’aucun disaient qu’ils voyaient en nous un père et sa fille, d’autres un frère et sa sœur. Amusantes comparaisons.

Alors qu’un attachement plus profond se créait avec elle, elle me complimenta un jour sur ma façon de chanter, me comparant alors à un esprit bienfaiteur venu apaiser les tensions de notre monde. C’est à ce moment-là que je me souvins avoir lu pareille expression dans un livre de la grande bibliothèque. J’orientai alors mes recherches sur l’ouvrage recensant la quasi-totalité des esprits-totems, et c’est ainsi qu’elle m’apparut. La description du lamantin. Je me souviens encore de la définition exacte que ce livre proposait : « Personne calme, douce et patiente au chant mélodieux que l’on pourrait comparer au chant d’un esprit. ». Avec la réapparition de ces totems, cela ne fit plus aucun doute. Le lamantin m’avait choisi.

Je me dirigeai donc vers la fontaine vif-argent, alors peu fréquentée à cette heure matinale, et m’agenouilla devant sa bordure. J’émis alors ma volonté de faire apparaître l’esprit, de la même manière que l’on priait les entités supérieures, et il m’apparut. Ne pouvant s’exprimer de vive voix, ses paroles pénétrèrent mon âme, et je reçus sa bénédiction. Sans Alénor, le déclic n’aurait peut-être pas été si soudain. Elle fut heureuse d’apprendre que j’avais trouvé mon totem, et je l’aidai alors à trouver le sien, qui ne fut autre que l’âne. Logique pour une apprentie baptistrelle.




Chapitre III : La guerre ne meurt jamais


Le conflit avec les vampires ne cessa qu’au commencement du nouvel âge. Les êtres de la nuit causèrent de grands malheurs parmi les humains, et nous étions souvent amenés à nous déplacer afin de porter secours aux blessés. Nous pûmes réaliser ce à quoi nous avions été préparés : apporter notre aide. Je ne puis évoquer l’incroyable nombre d’hommes et de femmes qui moururent alors que l’on essayait de les soigner tant cela fut horrible. Plus que tout, je souhaitai que ce conflit s’arrête. La mort d’autant de personnes causait en moi et mes camarades une irrépressible tristesse, qui nous amenait parfois à regretter nos rôles de baptistrels. Malgré tout, nous continuions d’agir pour préserver les mortels de l’infamie du despote, Lorenz Wintel, et de son armée aveugle. De tous les Armandéens, il est le seul être pour qui j’éprouve encore du dégoût.

Mes souhaits furent exaucés quand nous parvînmes à réunir les trois peuples, mais cela ne se fit malheureusement pas sans raison. Des êtres venus d’une terre maudite débarquèrent au nord du continent, ravageant tout sur leur passage. Des hommes égarés aux croyances douteuses, venus sur Armanda en quête de territoires. Les Alayiens étaient arrivés, et avec eux la mort et la désolation.

C’est au cours de cette année que Tomingorllo, le magnifique, le somptueux foyer des maîtres bardes, tomba. Et c’est également au cours de cette année que je dus faire un choix plus qu’important..

À la bataille que l’on nomme désormais « bataille des Bois Sombres », les envahisseurs déferlèrent sur le domaine, souhaitant éradiquer toute forme de vie s’y trouvant. Nous reçûmes l’aide des différents peuples, mais les pertes furent colossales avant que l’ennemi ne décide de battre en retraite. J’avais alors demandé la bénédiction des Esprits. À croire que cela ne suffit pas..

Je la vis sur l’épaule d’un homme, grand et robuste, enveloppé d’une armure sombre comme la nuit. Elle était là, à hurler pour que quelqu’un vienne la sauver. Alénor.. Je m’étais précipité vers elle, courant à toute allure, la lance à la main, prêt à tout pour la libérer. Alors que j’étais en chemin, je perdis toute notion du temps, et une sombre idée germa au fond de mon esprit. En valait-elle la peine ? Bien sûr que oui. À choisir entre deux maux, j’aurais préféré ne pas choisir du tout, mais cela m’avait semblé être un devoir envers elle. Je n’eus aucune once d’hésitation lorsque la pointe de mon arme s’apprêta à se ficher dans le dos de cet homme. Si c’était à refaire.. j’agirai de la même façon.

Tout espoir disparut en moi au moment où il s’effondra, mort. Je ne sentis même pas la douce étreinte pleine de reconnaissance que m’offrait Alénor, en larmes. Je venais de trahir les valeurs de mon ordre, de bafouer leur dogme, de balayer d’un revers de la main leurs facultés qui m’étaient offertes en assassinant cet homme volontairement. J’eus du mal à me ressaisir.. Je crois que la bataille prit fin peu de temps après. Aramis, qui avait vaillamment défendu les siens, nous aperçut et comprit qu’il s’était passé quelque chose. À vrai dire, je ne savais pas vraiment comment lui en parler..


Flashback:


Nous parcourûmes alors l’immense forêt qui prenait place aux alentours des ruines du domaine, en direction du Sud, vers Aldaria. Après deux semaines et quelques jours de marche, nous dénichâmes un petit hameau, Langvalle, bâti dans un creux entre plusieurs collines où les habitants vivaient du travail du bois. Rien de dépaysant donc.. C’est d’ailleurs ici qu’Alénor et moi fîmes la connaissance de Philippa Oleg, une femme absolument charmante et d’une gentillesse incomparable. Elle nous aida à nous installer dans une vieille maison qui semblait avoir appartenu au doyen alors décédé. Nous participâmes activement à la vie du village, travaillant à la scierie ou dans les bois qui prolongeaient les maisons. Au fil du temps, l’alchimie entre Philippa et moi opéra et l’amour nous unit sous la bienveillance des Esprits. Nous restèrent à Langvalle une année durant, nous tenant à l’écart des affres du nouvel ordre Glorien, agissant en quinconce avec l’envahisseur Alayien, et de la rébellion.

Nous partîmes en l’an 2 de notre âge, Alénor, Philippa et moi, afin de rejoindre Caladon, qui n’était à l’époque rien de plus qu’une petite ville. Nous avions éprouvé l’envie de rejoindre la civilisation après en avoir pleinement discuté, et Alénor se montrait de plus en plus enthousiaste à cette idée. Aldaria ne nous intéressait pas, peut-être était-ce car la rupture avec le calme de la nature aurait été trop brutale. Nous avons donc préféré Caladon, mais une fois le voyage effectué, non sans mal d’ailleurs, et nos bagages posés, les réjouissances furent de courte durée. Le règne de l’infâme Dragon Blanc commença, qui prit alors le contrôle de l’empire humain en assiégeant Gloria. Les vampires, heureux de représenter la race préférée du nouveau despote, combattirent pour lui, soumettant alors la quasi-totalité du continent. Nous fûmes cependant heureux dans notre malheur, car la situation de Caladon n’était pas tout à fait similaire à celle des autres grandes cités. L’on pouvait y vivre plus librement, même si les vampires tenaient à faire respecter l’ordre au sein des murs.

De ce fait, nous pûmes attendre patiemment l’arrivée d’un héros et la fin du règne de Vraorg, le Voleur de cœur. Au fil des années, les rumeurs concernant un groupe de résistants alors guidés par les Esprits supérieurs se mirent à circuler au sein de la ville. Nous y voyions là l’espoir, peut-être un jour, de vivre en toute liberté, sans que celle-ci ne soit régie par des lois infâmes et ignobles. Les batailles se succédèrent et jour après jour, nous apprenions la mort de centaines d’hommes et de femmes protégés par les Esprits.

C’est alors que l’ultime bataille sonna le glas de la fin de cette sombre période, heureuse conclusion d’une misérable époque. Même si je ne fus pas présent, les histoires pallièrent mon manque d’informations : ce fut l’ancien traître à la couronne, Fabius Kohan, qui parvint à pourfendre le grand Dragon Blanc. Annonce qui fut plutôt étonnante, je dois l’avouer..

Malheureusement, les Esprits nous abandonnèrent après la chute du tyran, laissant les peuples seuls et livrés à eux-même dans une reconstruction qui s’avère être d’une lenteur hors du commun. Après tout, de nombreuses villes furent détruites..




Chapitre IV : Paix et prospérité ?


Dans le même temps, en l’an 6 de l’âge d’Obsidienne, Caladon devint une véritable cité, accueillant les êtres de toutes races dans une atmosphère d’entente et de convivialité. Je postulai alors pour le titre de bourgmestre, souhaitant avant tout renouer avec un poste en lien avec la paix interraciale. L’enseignement baptistrel avait effectivement implanté en moi cette volonté de toujours agir en faveur de la majorité. Caladon était un symbole, celui de la réunification des races. Incarner son dirigeant me semblait être un immense honneur, en plus d’être le moyen de contribuer à cette entente si précieuse.

Je fus donc élu par les citoyens, étant sans doute le seul candidat à ne pas avoir directement abordé le thème de l’argent. Maintes affaires me furent confiées, et le métier de bourgmestre ne fut au début pas de tout repos. Si l’ennemi était défait, rien n’empêchait aux vieilles querelles de ressurgir, et la menace d’une guerre intestine planait sur le continent. L’on arrive cependant à calmer les esprits avec les bonnes paroles, ce que j’avais remarqué à de nombreuses reprises d’ailleurs..

Le mariage du jeune empereur elfique au début de l’an 7 fit grand bruit au royaume humain. L’on m’y invita de par ma qualité de dirigeant de celle qui fut renommée l’Harmonieuse, et ma surprise se fit grande lorsque j’appris que la mariée n’était autre que mon ancienne Cawr, Aramis. L’enthousiasme dont je fis preuve à l’idée de la revoir n’avait d’égale que mon envie de découvrir la fameuse cité dans les montagnes, Estëllin.

Alénor, qui entre-temps était devenue ma fille adoptive, m’accompagna et laissa Philippa seule à la maison, alors enceinte de huit mois. Nous revînmes cependant rapidement, une tentative d’assassinat ayant été soupçonnée et s’étant avérée vraie. Les festivités ne durèrent donc guère longtemps, et nous prîmes congé d’Aramis. J’espère d’ailleurs la revoir bientôt..

L’organisateur de cet acte diabolique était, à mon immense et indescriptible surprise, Lorenz Wintel. Il fut d’ailleurs pourchassé dans la forêt de l’Ouest, devenue un lieu malfamé et inquiétant, par le prince Wallam. Aucune nouvelle ne m’a été rapportée depuis, j’imagine que Wintel avait plus d’un tour dans son sac.. Korentin Kohan, chef de la rébellion d’antan, fut le seul à se retrouver empoisonné, et gît encore dans un profond sommeil artificiel en attendant qu’un remède soit trouvé. Je doute sérieusement de la découverte d’un tel miracle..

Nous attendons donc avec impatience la venue du nouvel empereur aldarien, qui ne devrait pas tarder à accéder au pouvoir. Bien que la régente actuelle soit une excellente meneuse, je demeure curieux quant à la façon de procéder du légitime successeur qu’est Nolan.

Le plus important reste cependant la naissance de mon fils, Adrian, mis au monde en mars dernier. L’accouchement s’étant très bien déroulé, nous avons pu nous remettre assez vite des événements passés. L’on arrête pas de me dire qu’il a les mêmes yeux que son père.. J’en doute, les siens sont incroyablement plus beaux.

Récemment, de nombreuses affaires ont éclaté au sein des royaumes, ce qui ne fut pas sans conséquences. Les tensions entre Gloria et Aldaria se font de plus en plus violentes, tandis que la Caste mille fois respectée des dragonniers est soupçonnée d’être à l’origine de l’assassinat de Fabius Kohan, ancien empereur glorien. De plus, un noble qui débuta en tant que percepteur d’impôts nommé Crissolorio Ostiz a fait preuve d’une extrême rapidité en mettant la main sur le pouvoir du royaume du nord.

Tout ne fait que changer, et je crains que la paix ne soit menacée. Je m’efforce de faire de Caladon un lieu de neutralité totale, mais chacun se sent désormais opprimé par ses voisins. Le nouvel ordre vampirique du prince actuel, les empires glorien et aldarien, les elfes du nord ainsi qu’une poignée d’Alayiens aujourd’hui grâciés ne se sentent plus en harmonie ici. La Guilde des Marchands tend à recréer les liens, mais une ombre plane sur cette entente. Une ombre malveillante qui risque de raviver les anciens conflits..




Épilogue


L’écriture de ce journal m’a demandé plusieurs nuits de travail. Au final, je me rends compte qu’il ne s’agit que de mémoires écrites par un homme ne dépassant pas la quarantaine d’années. Des mémoires, si courtes soient elles, qui décrivent les événements de la vie de cet homme d’abord chanceux, puis malheureux, pour enfin devenir apaisé. Des mémoires destinées à être lues par mon enfant. Par mes enfants. Je ne pense pas y prêter plus d’attention désormais, et je laisse volontiers ce passe-temps aux fameuses dames de la cour glorienne.

Voici donc la fin de ces écrits, la conclusion du récit. À toi, Alénor, ma chère fille, et à toi, Adrian, mon cher fils. Puissiez-vous trouver la paix dans le monde que nous forgeons pour vous.





Liens


Philippa Oleg/Hersing : La magnifique et sublime Philippa. Je l’ai rencontrée dans le village de Langvalle où elle résidait avec ses parents. Les jours paraissaient moins long en sa compagnie, et le destin fit bien les choses. L’amour nous lia sous un ciel étoilé avec la bénédiction des Esprits, et nous ne nous quittâmes plus depuis. Notre mariage eut lieu peu après mon accession au rang de bourgmestre. Elle m’est d’une précieuse aide et m’apporte sagesse et plénitude au quotidien. Je n’aimerais m’en séparer pour rien au monde.

Alénor Firkas/Hersing : Je la rencontrai alors qu’elle n’était âgée que de huit ans, arrivant d’un pauvre petit village où ses parents ne pouvaient plus la nourrir. Elle entra au sein de l’ordre baptistral, et devint une Enwr talentueuse et douée dans l’art de la guérison, bien qu’elle n’y resta que peu de temps. En effet, en l’an 1 de notre âge, avec l’arrivée des envahisseurs Alayiens, je dus faire un choix décisif qui allait changer ma vie. Pour la sauver, je dus tuer un homme.. Je suis aujourd’hui persuadé qu’il s’agissait du moindre mal. Alénor décida de m’accompagner dans mon exil, et quitta le domaine. Un lien profond nous unit, à tel point que j’en fis ma fille adoptive.

Adrian Hersing : Mon fils et digne descendant de la lignée Hersing. Le jour de sa naissance fut le second plus beau jour de ma vie. Philippa s’en occupe plus que moi actuellement, les affaires de la ville ne me permettant pas d’être présent davantage.. Il n’est cependant âgé que d’un an, et je ne doute pas qu’en ma qualité de père, je pourrais lui apprendre de nombreuses choses sur sa famille, sur le continent.. et sur la vie.

Aramis Thredë : Cawr, impératrice et fidèle amie, Aramis est une elfe comme l’on en croise peu dans une vie d’homme. Elle fut ma principale enseignante lorsque j’étais encore Enwr, et m’accompagna toutes ces années dans la recherche des vibrations du monde. Aux vues des circonstances, elle ne m’en voulut pas d’avoir tuer volontairement, et se contenta d’un au revoir.. Je la tiens en haute estime, et espère la revoir très bientôt.

Mellila Abrae : Dirigeante élue de la guilde Ô combien respectée des marchands, Mellila est une femme pleine de ressources. Elle m’apporta son soutien lors des élections, même si je n’arrive toujours pas à comprendre quelle en fut la raison. Quoiqu’il en soit, elle est une personne respectable et appréciée de la famille Hersing. Je ne m’aventurerai pas à parler d’amitié, mais l’on s’y approche fortement..

Commerçants de la guilde : Aucun commerçant ne m’échappe ! Plus sérieusement, le bourgmestre de l’Harmonieuse se doit de connaître sur le bout des doigts chaque membre de la guilde, ainsi que son domaine de vente. Le travail long et fastidieux que représente l’apprentissage de chaque caractère n’est nullement récompensé, certains demeurant irrespectueux et hautains. Nombre d’entre eux sont cependant aimables et courtois, même s’il est souvent difficile de leur faire confiance..

Régents, Empereur et Prince : Je me dois, ici également, de connaître chaque dirigeant ainsi que les affaires qu’il conclue avec Caladon. Cependant, tout peut basculer d’un moment à l’autre. Là est mon devoir de bourgmestre : faire en sorte qu’aucun ne se sente délaissé par rapport aux autres.




Derrière l'écran

Petite présentation : Je suis aussi Alornell Leodan (plus connu sous le nom de.. Blanchette)

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Christan Weren
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MessageSujet: Re: Jorik Hersing - Humain prédéfini [Terminé] Jorik Hersing - Humain prédéfini [Terminé] Icon_minitimeMar 30 Aoû 2016 - 8:49

Coucou Jorïk ce sera moi qui m'occuperai de ta fiche bro Razz .

Identité :

Parfait !

Equipement, et magie :

Cela convient aussi^^

Compétences :

Tout me semble bon, et les caracs conviennent parfaitement au perso il me semble, enfin à deux trois détails près…

Mémoire : -Monte la à bon, ton perso est quand même un politicien, et un érudit. A mes yeux il doit quand même avoir une bonne mémoire au moins^^.

Physique : -Tu peux monter la résistance à bon, ton perso étant doué en magie il est normal que sa résistance suive le pas (la résistance conditionne autant la capacité à résister à la magie qu'aux conditions climatiques.)
-Remonte l'endurance à moyen, après tout ton perso a pas mal voyagé, ce serait normal qu'il soit un minimum endurant^^.
-Beauté : Monte la à bon, après tout Jorik semble quand même assez agréable à regarder^^.

Martial : -Tu peux monter l'équitation à bon, ayant pas mal voyager ton perso doit savoir bien monté sur un cheval, de plus j'imagine bien Aramis l'avoir entraîné à cela.

Après discussion en staff, avec tout cela compris tu aura le niveau innée « correct » et ton potentiel magique développé au max soit mage très puissant^^. Ce qui est un niveau très honorable o/. Surtout pour un perso étant spécialisé dans la politique, et non la magie^^.

Description physique :

Rien à y redire.

Description mentale :

Assez court mais très sympathique :3 .

Liens :

Rien à y redire o/.

Derrière l'écran :

Razz .

Histoire :

Chapitre 3 :

Citation :
« . Des démons venus d’une terre maudite débarquèrent au nord du continent »

Le principe de démon est inconnu des armandéens^^. Il faudra que tu corrige cela.
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MessageSujet: Re: Jorik Hersing - Humain prédéfini [Terminé] Jorik Hersing - Humain prédéfini [Terminé] Icon_minitimeMar 30 Aoû 2016 - 9:06

Modifications effectués ! praise the sun
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MessageSujet: Re: Jorik Hersing - Humain prédéfini [Terminé] Jorik Hersing - Humain prédéfini [Terminé] Icon_minitimeMar 30 Aoû 2016 - 11:31

dragon

Sois le bienvenu sur tes terres, fils d'Armanda.
Tu es née avec une puissance magique innée de correct et ton entraînement dans le domaine magique t'a permis d'atteindre un niveau très puissant. Tu as d'ailleurs été choisi(e) par le totem de la lamantin dont tu as atteint le niveau 2. Tes caractéristiques ont été modifiés en adéquations avec ce totem.

Tes compétences ont été validées, tu pourras les faire évoluer tout au long de ton aventure. Tu as aussi un profil qui pourra évoluer en jeu sur demande.

Pour tenir l'état de tes aventures à jour, tu possèdes une fiche de suivi de personnage qui se trouve en ce lieu. Tu peux y ajouter tes liens, ton inventaire, ton histoire personnelle et ce que tu souhaiteras. Tu peux aussi adresser tes questions ici.

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MessageSujet: Re: Jorik Hersing - Humain prédéfini [Terminé] Jorik Hersing - Humain prédéfini [Terminé] Icon_minitime

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