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Je vais où je veux ! [Möebius]

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MessageSujet: Je vais où je veux ! [Möebius] Je vais où je veux ! [Möebius] Icon_minitimeJeu 23 Déc 2010 - 1:32

    Voler n’était pas offert à tout le monde. Lyroë y avait eut droit, par miracle. Et elle s’y était bien plu ! Il se souvenait de ce sentiment qui l’avait agrippé pour un oiseau de proie. La crainte de l’elfe avait fini par disparaitre et tous deux s’étaient bien plus à dominer le ciel de leur seule et unique présence. Pas un seul autre elfe ne l’avait encore fait. Pas depuis la renaissance du peuple des Anciens, du moins. Non, elle était la première à pouvoir donner sens à l’expression «toucher les ailes des oiseaux». Et ceci faisait maintenant deux ans. Deux longues années s’étaient écoulées depuis le premier vol de l’elfe. Et bien qu’il la sente toujours plus à l’aise sur terre que dans le ciel, il aimait sa présence lorsqu’il déployait ses ailes. Et si elle n’était pas là, tant pis, il avait fini par s’y faire. Leur lien n’était pas parfait. L’archère, après tout, était beaucoup moins câline et joueuse qu’il ne l’était. Mais ils avaient ce don de bouder, l’un autant que l’autre. Un caractère de mauvais poil, se vexant facilement. Cymbor prenait beaucoup sur lui. Même s’il n’en faisait pas nécessairement part. Et depuis le temps, son caractère avait changé, il s’était calmé. Il ressemblait désormais plutôt à un de ces vieux sage qui écoute doucement, qui conseil de temps à autre, mais qui ne prend pas place dans les conflits, sauf bien sûr lorsque ça a sujet avec sa liée.

    Et après deux ans, voilà que les œufs qu’ils étaient allé récupérer sur l’île du flocon se dévoilait être éclot. Et le premier de la seconde génération de dragons avait été dédié à un jeune humain qui avait beaucoup à apprendre. Il avait été ravi. Même s’il ne l’avait pas forcément démontré et qu’il avait pu paraitre un peu désagréable ou trop ‘’vieux’’ pour ces deux êtres si jeunes. Quoi qu’il en soit, il devait leur avoir fait un drôle d’effets à ces deux là ! Il avait ressentit la soumission du petit humain au début, du malaise qu’il ressentait vis-à-vis de lui, du moins de sa carrure plus qu’impressionnante. Normale… Cymbor était devenu un dragon particulièrement grand, dans sa puissance, dans sa noblesse. Fier représentant de la race à laquelle il appartenait.

    Le dragon n’avait en réalité que faire de ce que pouvait penser les autres. Son avis, à lui, sur le nouveau duo, était très simple : il s devraient apprendre plus vite que lui et Lyroë n’avait été contraint à le faire. Il sentait le mal partout. Son cœur bondissait de rage à l’écoute de la magie souffrante. Le Dracos n’était de toute évidence pas au mieux de sa forme. Et s’il venait à disparaitre complètement ? Cette pensée le tétanisait. Le dragon blanc déploya les ailes et s’étira, un peu comme un chat l’aurait fait dans un élan de paresse pour s’allonger de plus belle, laissant seuls les rayons du soleil percer doucement à travers les branche réchauffer ses écailles aveuglantes comme neige, alors qu’il fermait des paupières lourde. Il sentit bien la présence du petit dragon bleu, non plus, dans les parages, mais ne semblait pas davatage que cela pousser à aller à sa rencontre. Pourquoi ? Allez savoir… Peut-être ceci le mettait-il mal à l’aise. Parce qu’il s’était aussi promis de ne plus intervenir envers lui. Pas tant et aussi longtemps qu’il ne ferait pas les premiers pas, du moins, par peur de l’effaroucher une deuxième fois. Il se contenta donc d’attendre, curieux, silencieux, l’esprit aux aguets, surveillant tranquillement, paisiblement, dans son coin dans bouger, sans intervenir, de voir s’il daignerait trouver un bout de courage pour lui parler, à lui, son ainé. Cymbor ne lui aurait pas fait de tord de toute façon. Il était un dragon, après tout ! Et même s’il ne le savait pas encore, le savoir qu’il détenait en lui, comme tout être du peuple Ancien, était précieux. Le dragon blanc avait compris quelque chose grâce à son propre ainé, Shaynar… Qu’en vérité, peu importait à qui était lié un dragon… Un dragon reste un dragon. Shaynar l’avait placé à pied d’égalité avec lui. Et ils avaient cessé d’être mal en présence de l’un ou de l’autre. Même si le malaise était toujours un peu présent lorsque les deux créatures se faisaient face.



Dernière édition par Cymbor le Ven 31 Déc 2010 - 18:52, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Je vais où je veux ! [Möebius] Je vais où je veux ! [Möebius] Icon_minitimeVen 31 Déc 2010 - 2:24

Le petit dragon était encore très intimidé par la présence écrasante de Cymbor à ses côtés, mais ce dernier lui avait proposé de s'éloigner un peu de leurs maîtres pour qu'eux-même en apprennent un peu plus de leurs côtés, même si le dragonnet était encore incertain pour voler, il était en revanche sur de tout faire pour suivre l'exemple de son aîné. Il est vrai que sa naissance sur ce monde lui avait fait porter un fardeau bien lourd dont il n'avait même pas encore conscience il avait du mal à comprendre aussi pourquoi il semblait être l'objet d'une telle attention ou qu'il se trouve. Cette escapade que Cymbor lui proposait était comme une bulle d'air, bien que Moëbius n'en avais pas encore pleinement conscience, mais il avait besoin de voler, de sentir le vent souffler, d'avoir une impression de liberté dans ce monde ou tout semblait aller si mal. L'assurance du jeune espoir était encore fragile et pourtant dans son regard on pouvait y voir une détermination insoupçonnée, aussi quand il finit par rejoindre Cymbor il se concentra un moment laissant de côté toutes ses peurs et ses appréhensions pour communiquer avec son professeur. La présence de Moëbius était inévitablement froide, non pas qu'il soit distant avec les autres, mais c'était quelque chose qui faisait partie de lui et qu'il ne pouvait pas encore contrôler.

Moëbius savait que Cymbor pourrait comprendre le langage qu'il utilisait, celui des images des odeurs et autres repère sensoriel que les dragons possédaient, les humains sont peut-être trop attachés à leurs langages pour se comprendre, quoi que les elfes aussi, mais le dragon n'en savait rien. Dans tous les cas les sentiments et images qu'il transmettait à l'esprit de Cymbor était celle d'un accord, d'une approbation, il acceptait de le suivre pour en apprendre un peu plus sur lui-même et sont avenir dans ce monde. Il était désireux de trouver sa place et d'occuper le rôle qui lui revenait. Le jeune dragon émit un petit bruit comme pour dire qu'il était temps de se mettre en route et se mit à battre frénétiquement des ailes pour tenter d'arracher son corps à la graviter, l'effort lui était moins pénible que la première fois, mais il était intensif pour son petit corps. Mais il tint le coup et s'efforçait de s'envoler un peu plus haut pour sortir de la forêt et d'observer celle-ci du dessus des arbres. Une fois en haut, la vue qui s'offrait à lui dépassait toutes ses attentes, c'était la première fois qu'il pouvait voir le monde d'aussi haut et aussi loin. Malgré la fatigue qui commençait déjà à pointer le bout de son nez, le dragonnet était tellement absorbé par sa découverte qu'il n'y fit même pas attention.

Il communiquait toutes les sensations qui étaient en train de l'envahir à ce moment précis, ne se rendant même pas compte qu'il les communiquait à Cymbor et encore moins qu'il devait déjà les avoir vécues auparavant. Moëbius était en pleine euphorie et n'attendait plus qu'une seule chose, d'aller découvrir d'autres endroits tout aussi magnifique en compagnie de son aîné pour le surveiller et lui apprendre les danger du ciel, dont il était le principal prédateur en réalitée.
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MessageSujet: Re: Je vais où je veux ! [Möebius] Je vais où je veux ! [Möebius] Icon_minitimeLun 10 Jan 2011 - 15:39

    Le jeune dragon semblait si fragile, si frêle, ses pattes si légères lorsqu’on le comparait à lui. Pourtant, Cymbor avait été semblable en bien des points. Il était fin, malgré son poids et sa grosseur plus qu’impressionnante désormais. Et lorsque l’écaillé bleu se présenta à lui, dans sa démarche trottinant d’enfant en apprentissage de toute chose, il ne pu s’empêcher de ressentir une certaine paix pour lui-même. La nouvelle génération grandissait bien, sous le regard attentif de son nouveau dragonnier, et l’ancienne comme lui ne pouvait dès lors que veiller sur eux jusqu’à ce qu’ils soient en mesure de se défendre. Pourquoi se sentir si protecteur ? Il l’ignorait. Peut-être était-ce dû au fait qu’un des dragons de première génération était mort jeune, trop jeune, sans que personne ne fasse rien. Et il en avait souffert. Shaynar aussi, à ne pas en douter, autant que lui. Il laissa donc le jeune dragon communiquer avec l’ainé qu’il était pour lui, alors qu’il ne faisait encore que darder son regard de saphir sur la petite créature ailée, prête désormais. La peur qu’il avait vu grandir en elle depuis peu semblait vouloir se volatiliser. À son plus grand plaisir ? Forcément. Il se plaisait de voir qu’il pouvait donner un effet autre que tétanisant. Il laissa donc le dragonnet quitter la terre maladroitement, l’observant un peu, jusqu’à ce qu’il ne s’élève, avant d’enfin daigner se redresser, étirer ses ailes qui faisaient bien le double de sa taille corporelle. Il battit l’air pour s’arracher à la gravité, laissant à l’endroit où il était allongé un peu plus tôt une herbe tapée et des traces de griffes dans la terre molle. Le corps s’éleva, doux dans ce battement d’aile étrangement lentement, n’ayant plus besoin de les battre frénétiquement. Leur taille lui permettait de cueillir plus d’air et donc de s’élever plus aisément.

    Il grimpa au ciel, léger, un air vaguement rêveur sur ses traits doux et calme alors qu’il rejoignait d’un battement le dragonnet, qui en faisait ses premières véritables expériences. Cymbor n’avait jamais hésité à se lancé dans le vide. Sauter de l’épaule de sa dragonnière, planer, et aller s’écraser plus loin, dragonnet, lorsqu’il ne savait pas exactement à quoi lui servait ses ailes. Mais volé, chez lui, avait toujours été très naturel. Shaynar avait eut vite appris la magie du feu qui bouillonnait en eux alors que le blanc mis plus de temps avant de cracher son premier jet de feu. Mais il se mit à voler très rapidement, comparé au noir, du moins. Chacun ses points faibles et ses forces. Le dragon blanc, au niveau du bleu, émit un étrange son qui représentait chez lui un petit ricanement d’amusement. Il le voyait bien se fatigué, mais rien ne semblait vouloir l’empêcher d’être là, dans les airs. Le grand blanc restait étrangement stable, derrière, se laissant simplement porter par les courant, suivant le vol des oiseaux qui vinrent les rejoindre éventuellement, alors qu’il ne tendit pas même la tête pour en croqué un, faute d’appétit. Les dragons étaient de grands chasseurs et fort probablement les plus grands prédateurs. Il passa dessous le petit dragon pour prendre les devants, lui lançant un regard en tournant la tête vers lui, toujours aussi amusé, et recommença son manège d’un peu plus tôt, ses ailes grandes ouvertes captant le moindre courant d’air, il les gardait immobile, envoyant au petit dragon la pensée qu’ainsi, il ne se fatiguerait pas.

    Voler, pour un dragon, c’était tout ce qu’il y avait de plus naturel. Pour Cymbor, ce n’était pas seulement un fait, une activité, ou quoi que ce soit dans ce genre… C’était un cadeau. Comme celui qu’il avait reçu de se lié à Lyroë. Comme celui qu’il avait reçu du Dracos de naître parmi les elfes. C’était ce qui le représentait le plus. Il aimait ça, bien plus que marcher ou nager. Il aimait le ciel et les trésors qu’il décelait, bien caché dans ses nuages ou derrières les arcs-en-ciel. Et il appréciait encore plus cette capacité à traverser le monde parmi les oiseaux avec sa dragonnière sur son dos. Au début, elle avait craint, mal à l’aise, de se blesser contre ses écailles tranchante sur son frottement de jambes, ou de tomber, carrément. Il lui avait fallu la rassurer que jamais au grand jamais il ne la laisserait tomber de son dos, qu’il serait toujours là pour veiller sur elle, à prendre garde à ce que rien ne lui arrive. Et il l’avait bien tenu, cette promesse. Elle n’avait jamais glissé et prenait désormais plaisir de voyager avec son lié, ce qui avait eut raison de le rassurer au plus au point. Pour le petit dragon ? C’était à lui de tout découvrir, c’était le plaisir de le faire. Il n’était là que pour guider et surveiller, en plus âgé qu’il était…

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MessageSujet: Re: Je vais où je veux ! [Möebius] Je vais où je veux ! [Möebius] Icon_minitimeVen 14 Jan 2011 - 11:31

Möebius était encore émerveiller par la vue imprenable qu'il avait en ce moment, seulement ses ailes n'étant pas encore suffisamment développer avait du mal à le supporter et de ce fait il se fatiguait vite, la chance voulait que Cymbor le comprenne et lui donne un coup de main pour reposer ses petites ailes encore fragiles, ainsi il pourrait admirer le ciel à ses coter sans s'épuiser, même si ce n'était pas la première fois qu'il pouvait admirer le ciel c'était la première fois en revanche qu'il pouvait le parcourir depuis les airs, cette sensation était extraordinaire, Möebius n'en revenais pas. Ses envies d'explorer le monde était en train de grandir et il avait hâte d'être aussi fort que Cymbor pour y parvenir, il avait tout simplement hâte de grandir. Même s'il évitait encore un peu les contacts avec le dragon blanc, cette excitation qu'il ressentait, il ne pouvait s'empêcher de l'exprimer à son aîné. Même avec une différence d'âge et de taille si imposante, le dragonnet se sentait étrangement proche de Cymbor, il avait envie d'apprendre tout ce qu'il pouvait de lui pour grandir et être mieux compris de son dragonnier et des autres, seulement pour cela il avait besoin de temps, alors que le jeune dragon désirait tout savoir tout de suite, il n'était pas de nature impatiente, mais il avait vraiment besoin de devenir meilleur et de mieux comprendre ce qui l'entoure. Peut être qu'avec de la chance Cymbor pourrait aussi lui apprendre comment fonctionne les humains, il avait une vague idée, mais il manquait encore d'expérience pour être sûr, expérience que le grand dragon devais surement avoir.

Möebius essaya de s'exprimer à Cymbor avec des mots au début, mais il ne pouvait s'empêcher de revenir à sa méthode de base, sur les sens. Il exprimait son impatience et ses doutes, même s'il n'était pas certain que le dragon adulte puisse l'aider et aussi qu'il aimerait bien explorer le ciel en sa compagnie, apprenant aussi les méthodes de vol pour économiser de l'énergie et ne pas trop se fatiguer. Le jeune dragon se demandais également s'il était normal pour un dragon d'être séparé de son dragonnier comme ils le sont en ce moment et quelles serait les effets à long terme. Car oui le dragonnet avait encore beaucoup de questions à poser et qu'il savait que Nashy ne pouvait y répondre, tout deux étaient comme des nouveaux née sur cette terre, même si sont dragonnier avait un peu plus d'expérience que lui, il savait que Cymbor et Lyröe en avait beaucoup plus qu'eux, c'est pourquoi il préférait lui poser les questions à lui plutôt qu'à son partenaire. De la même manière il se sentait un peu plus proche de Cymbor que Nashy, surement dû au fait qu'il avait l'air bien plus préoccupé par le sort de Möebius que l'était son dragonnier, mais peut-être pas pour les mêmes raison. Quoi qu'il en soit il était maintenant temps d'explorer l'espace qui s'offrait à eux, le jeune dragon devais attendre que son aîné se lance de lui-même dans une direction, sinon Möebius n'irait pas bien loin.


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INTERVENTION DU DRACOS : Le ciel noircit et le vent se lève de plus en plus... une tempête s'approche !
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